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La naissance de l'Octave mariale à Luxembourg au 17ème siècle

Gravure Consolatrix, Susanna Verbruggen (Objet 4/8)

Aujourd'hui encore, au 21ème siècle, les images de Saints sont appréciées des pèlerins en tant que souvenir de leur pèlerinage. Il n'en allait pas autrement au 17ème siècle. Peu après la construction de la chapelle sur le champ du Glacis, les fidèles qui se rendaient à la Consolatrice des Affligés de Luxembourg pouvaient déjà acheter des estampes sur lesquelles figurait l'image de la statue miraculeuse. En arrière-plan se trouvaient souvent la chapelle du Glacis et la silhouette de la ville de Luxembourg.

Ces images étaient produites en grand nombre. Entre août 1669 et novembre 1672, le graveur Jean Levache de Dinant en a livré plus de 7000 exemplaires. Il en existait des versions très différentes, petites ou grandes, en noir et blanc ou peintes de couleurs vives, qui étaient vendues aux pèlerins à des prix différents. Les images sur lesquelles les vêtements de Marie et de l'enfant Jésus étaient en véritable tissu étaient également très populaires. Un très bel exemple en est une gravure de Susanna Verbruggen, une graveuse qui travaillait à Anvers au début du XVIIIe siècle et qui fournissait la chapelle du Glacis depuis cette ville.

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